NewsLetter Janvier 2017

Janvier,

Le mois de toutes les bonnes résolutions !

 

La mienne sera de vous accompagner, par le biais de Jeunessence, dans votre parcours de bien-être alimentaire.

Cette nouvelle Newsletter trimestrielle sera pour moi l’occasion de partager mon expérience de la diététique, de la nutrition et du jeûne par des conseils pratiques, culinaires et en parfaite harmonie avec tous nos sens.

Ce trimestre, j’aimerais traiter d’un sujet qui me tient particulièrement à coeur : l’alimentation. Et notamment, l’alimentation vivante.

C’est la clé de la bonne santé et du bien-être.

Si vous avez choisi votre alimentation saine, vivante (si vous êtes initié(e)s, ou que vous soyez en recherche d’une bonne alimentation : 

BRAVO !

Nous commencerons cette recherche par l’alimentation vivante,
car cette alimentation contribue à notre équilibre et est la clé de voûte 
de notre santé.

jeûne chez Jeunessence

Depuis l’enfance, l’homme est conditionné dans ses comportements par tout ce qu’il apprend et voit autour de lui. À l’école, au sein de sa famille, à la télévision, au supermarché ou sur une aire de jeu, tout ce que nous voyons nous incite à la reproduction et à l’acceptation spontanée de gestes qui semblent anodins et qui, pourtant, influencent notre vie, nos décisions, notre santé et notre esprit.

L’alimentation facile, rapide et industrialisée fait partie de ce conditionnement, à l’image de notre comportement social qui, lui aussi a évolué en une course après le temps. Cette alimentation génère une ignorance majeure du fonctionnement et de l’évolution de notre propre corps, base de la vie.
Pourtant, malgré les efforts des publicitaires et des multinationales, les populations, de plus en plus affligées par le déclin de la santé, commencent à s’y intéresser de plus près ainsi qu’aux conséquences de leur consommation et abordent de nouvelles formes d’alimentation. Le végétarisme est une nouvelle approche qui s’intègre peu à peu dans les menus des restaurants, tout comme d’autres régimes plus poussés, tels l’alimentation vivante.

Je vais, ci-dessous, essayer de définir ce qu’est l’alimentation vivante ainsi que son fonctionnement. Ensuite, dans la prochaine newsletter, j’aborderai les grands principes de cette habitude alimentaire ainsi que son impact direct sur notre santé physique, voire même psychologique en m’appuyant sur des travaux et recherches effectuées à ce propos.

 

Qu’est-ce que l’alimentation vivante ?

Selon diverses définitions, l’alimentation vivante ou crudivorisme « est une pratique alimentaire qui consiste à se nourrir exclusivement d’aliments crus (crudités), souvent issus de l’agriculture biologique ».
Manger cru ayant pour objectif de conserver un maximum de nutriments, les produits sont de préférence consommés après avoir été fraichement cueillis, dans leur état le plus vivant.

C’est une source d’alimentation susceptible de poursuivre son cycle du vivant, surtout si elle a été cultivée de manière « vivante », c’est à dire biologique ou, par exemple, cultivée selon les règles de la permaculture, et n’aura subi aucune transformation autre que la germination ou la fermentation.

De la même manière, selon les indications du Docteur KOUSMINE, « l’alimentation vivante se compose donc principalement de fruits, légumes ou céréales comestibles et goûteuses et de leurs produits : les légumineuses, les céréales, les algues, les huiles de première pression à froid, les graines germées, les légumes lacto-fermentés, les fruits séchés, le miso et le tamari (ou shoyu), les épices et plantes aromatiques, et aussi le jaune d’œuf, les poissons de mer ou d’eau douce « cuits au citron et les coquillages : huîtres, moules, praires, palourdes… et la viande occasionnellement : fraîche (tartares, carpaccios) ou séchée.

En tout état de cause des aliments n’ayant été ni cuits ni raffinés et les moins dénaturés possible ».

Qu’est-ce qu’un super aliment ?

Un aliment énergétique ou « superaliment » est un aliment capable d’apporter de la vie à notre corps par sa propre charge en énergie vitale tout en ne laissant pas de déchets dans le corps.
L’aliment sauvage, vivant, fraîchement cueilli détient une charge vitalogène maximale. Pour qu’un aliment soit revitalisant il doit être cru, frais et Bio.

Il est alors très digeste : on le qualifie d’hypotoxique car il ne surcharge pas l’organisme. Manger cru semble donc être une conséquence logique.
Si l’on observe autour de nous, au sein d’un environnement naturel, il est facile de s’apercevoir que manger cru est une pratique entrant dans la logique de la chaine alimentaire… Pour Pierre-Valentin Marchesseau (le père de la Naturopathie) : « l’homme, en assassinant journellement ses aliments par le feu, entretient un perpétuel attentat contre lui-même. L’aliment biologique varie avec les espèces, mais il doit toujours être cru, naturel et spécifique ».

En effet, les aliments cuits perdent leur énergie vitale et l’organisme qui ne reçoit que des aliments cuits et dévitalisés doit puiser dans ses réserves nerveuse et glandulaire pour compenser ce manque d’apport énergétique, ce qui réduit sa longévité. Puisque notre survie ne dépend plus, aujourd’hui, d’une consommation réduite, littéralement, à ce qui nous passait sous la main, notre corps nous appelle peut-être à réadapter nos comportements alimentaires.

Pour respecter les critères de l’alimentation vivante, la cuisson ne doit pas dépasser 40°, car toute l’activité d’une cellule dépend de la température dans laquelle elle évolue. Lorsque la température augmente dans la cellule, toutes les activités s’emballent, notamment les activités enzymatiques et la cellule « prend feu ». C’est ce qui s’observe à partir de 40°, et la plupart des cellules et des organismes se détruisent.

Pour résumer, l’alimentation vivante est donc, non seulement, une alimentation utilisant des produits étant au coeur d’un cycle de vie, mais également une pratique nécessitant une manipulation spécifique des aliments dans l’objectif de gagner le maximum de valeur nutritionnelle en évitant un processus de cuisson, de transformation ou de combinaison, entre autres. Cette habitude et ces pratiques alimentaires, bien que relativement simples, impliquent toutefois certaines connaissances et gestes à adopter, et nous amène à penser que choisir une alimentation vivante ne se résume pas à un choix culinaire, mais plutôt à un réel mode de vie alternatif influant sur notre corps et notre esprit.

Les grands principes de l’alimentation vivante seront traités dans notre prochaine Newsletter . Mais pour ce trimestre, je vous conseille 2 recettes inédites en PJ.

 

RECETTES OFFERTES 

 

Fenouil en folie

(Composition fraîche et vitaminée qui me plaît particulièrement).

1 fenouil émincé finement
2 pommes à chair ferme (type braeburn) râpées grossièrement

1 tomate coupée en petits cubes
3-4 figues fraîches ou séchées coupées en petits cubes
2 càc de vinaigre de framboise
Le jus d’1/2 citron
De la ciboulette ou de la menthe
On peut également ajouter (entre autres) des carottes et ou de la courgette râpée, des radis (rose et/ou noir) émincés, …

 

 

o O o 

 

Le meilleur jus vert

 

Ingrédients:

2 pommes
6 branches de céleri
1/2 citron
1 petite poignée de persil 2 tasses d’épinards

Passer tous les ingrédients à l’extracteur à jus. Filtrer à l’aide d’un tamis ou d’un filet en nylon. Consommer dans la journée.

Garder au frais et à l’abri de la lumière.

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